vendredi 27 janvier 2012

Les nourritures terrestres… 26 janv



Pour ne pas rester sur un échec, nous retournons au Palais de tek équipés ; nous passons donc aisément le premier barrage… Là, il faut déposer le sac à dos dans un casier : celui-ci avale les 20 Bahts sans vouloir fermer et Thierry commence à s’énerver. Ensuite, il faut poser ses chaussures dans un réduit au sous-sol et, last but not least, passer sous un portique de sécurité, l’ensemble de ces opérations au milieu de dix bus de touristes asiatiques braillards et fonceurs. Sous le portique, Thierry, qui a malencontreusement oublié de retirer le portable d’une de ses multiples poches, se voit refuser l’entrée et pique sa crise, insultant en français les fonctionnaires qui continuent de sourire… Inutile d’insister, il n’ira pas plus loin ! Joignant le geste à la parole,  il nous abandonne là tous les trois pour passer 4H. afin de collecter les $ dont nous avons impérativement besoin en Birmanie. Entraînés dans le flot des touristes qui avancent au pas de charge regardant droit devant, nous ne verrons pas grand chose de l’ammeublement raffiné de cette jolie demeure…

Edith s’est organisé un après-midi “de fille” et les plante là tous les trois pour aller flaner dans les allées de Siam Center et se faire papouiller la tête chez le coiffeur, les thaï excellant dans cet exercice.

Nous nous faisons une fête d’aller diner “français” au “Petit Zinc”, le restaurant de Muriel et Thomas. Et c’est vraiment la fête ! Saucisson, rillettes, andouillette, pièce de boeuf, fomages, moelleux au chocolat se laissent engloutir plutôt que déguster, mais quel plaisir au bout de cinq mois de nourritures exotiques !

Muriel nous fait les honneurs de sa maison

Une belle coiffure et du saucisson... On approche du Nirvana


Et les fromages... et les desserts... on vous dit pas !


Le bar qui donne son nom à la rue
Pour rentrer, nous traversons l’une des cinq rues “chaudes” de Bangkok, la Cowboy road. O parents dépravés que nous sommes ! Faisant découvrir à nos enfants le spectacle des filles en uniforme (couverture de tissu minimum, un stylisme différent par bar) qui attirent le client  dans le battement fou des enceintes et le clignotement des enseignes au neon… Vincent et sa bouille de peluche a un franc succès, se faisant caliner au passage par ces demoiselles.


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