vendredi 6 janvier 2012

Au paradis des plumes… 3 janvier



Des perroquets, des toucans, des pélicans, des autruches, des pigeons couronnés, des oiseaux de paradis, …, tous les volatiles multicolores possibles sont au Jurong Bird Park. Vincent adopterait bien toutes les perruches de la volière et, même Edith, dont la répulsion vis à vis des bêtes à plumes n’est plus à démontrer, se laisse survoler et becqueter de tout près.
Dès l'entrée, c'est "Pirates des Caraïbes" et le perroquet de M. Cotton !





N'oubliez jamais cette image ! Du jamais vu, non ?!

Mes chères perruches !






Et un "bec en sabot" ? Déjà vu ?


A l’heure de l’apéritif, nous hélons un taxi direction le mythique Raffles Hôtel. L’établissement  du XIXème siècle colonial est immense et occupe tout un pâté de maisons. Nous sommes refoulés à l’entrée principale, réservée exclusivement aux clients  résidents et orientés vers le bar “du bas peuple”, qu’Hemingway apprécierait. Boiseries foncées, ventilateurs, fauteuils cannés ; sur les tables, des caissettes de bois remplies de cacahuètes et, à terre, une couche épaisse des cosses des dites-cacahuètes.  Bien sûr, on vient ici pour le “Singapour Sling” original, inventée à l’époque par un barman chinois, ou l’une de ses multiples versions saisonnières.  Le breuvage est gentiment sucré, pas inoubliable, mais le Raffles : si !


Cacahuètes sur la table, cacahuètes au sol...

Le Sling "Summer" et le "Tropical" : tchinn !

Pour déjeuner ou dîner, il y a à tous les coins de rues de petits boui-bouis chinois ou indiens, ouverts 24H/24 (les food courts) qui proposent de se rassasier pour environ 5 Sg$ (3 euros). Nous nous y régalons de nouilles ou riz frits, de nan, de samosa, dans des sauces parfumées plus ou moins épicées et de délicieux thés glacés ou jus de fruits frais (on ose encore…).

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