lundi 9 janvier 2012

Faut s’adapter !.... 6 & 7 Janvier



Le premier de nos vols Air Asia – apparemment la compagnie incontournable des “tourdumondistes” – se passe très bien. A l’aéroport de Phuket (Thaïlande), le ton est donné : il faut marchander le taxi ! Exercice réussi pour le tiers du prix demandé.
Celui-ci nous dépose devant les chambres d’hôtes où nous allons passer 6 nuits. Ouf, elles sont grandes et pleines de lumière ! Au bar du rez de chaussée, Andrew, vieil écossais dégingandé, sec et blanc de poil, nous accueille au milieu de sa clientèle internationale (prédominance russe, néanmoins, mais rien d’étonnant puisque Madame Andrew est ukrainienne !) et de ses “filles” quelques jeunes thaïes au minois de chat employées au service (et probablement plus si affinité une fois la nuit tombée ?).

Par hasard (enfin, c’est quand même un peu pour lui que nous avons choisi cette destination), le soir de notre arrivée, nous tombons sur Michel, rencontré à Auckland en octobre dernier, installé ici depuis 2 ans ½ pour louer voitures et scooters. Bonne aubaine, ce sacré baroudeur a de bons plans à nous donner, ce que nous acceptons avec  plaisir car oui, il faut qu’on s’adapte :
La plage de Yanui calme au petit matin (après adaptation) ...
-       au fait que nous débarquons pendant la “peak season” (la pleine saison) , que les plages sont bondées d’occidentaux (là encore, russes en majorité) l’après-midi , bien qu’en plein cagnard : il va falloir revoir le rythme des journées car cette confrontation brutale au tourisme de masse ne nous séduit pas du tout,
... la même à 15H., bondée !

-       au rythme des cours CNED de 4ème, car malgré toute notre bonne volonté et les efforts de Thibaud, nous accusons toujours un fâcheux retard : Thierry sort de ses gonds et contraint l’intéressé (et par là même l’ensemble de la famille…) à 6 heures minimum de travail par jour .  Mesure peu populaire, mais salutaire,
-       à la cuisine épicée. Même Edith, qui croit son palais mieux immunisé, en attrape des sueurs froides alors qu’elle a commandé “medium spicy” ! Nous nous résolvons à demander systématiquement “no spicy”… Quant à Vincent, il contourne le problème en adoptant le mono régime “riz vapeur” 
-  à la circulation dense et anarchique sur la route: voiture, très nombreux scooters, side-cars bricolés ou même bus coupant la ligne  blanche pour doubler en 3° file à toute vitesse ; nous retrouvons immédiatement et avec plaisir nos habitudes parisiennes en louant des scooters pour se faufiler au milieu de ce capharnaüm.
exemple typique de véhicule rencontré sur les routes thaïlandaises



.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire