Nous quittons Anne et Mac après une ballade pédagogique dans leurs vignes. Mac aura même joué au grand-père “trop génial” en emmenant les garçons faire un tour de quad.
Direction l’embarcadère du ferry à une centaine de kilomètres et, 45 minutes plus tard, nous abordons sur KI (c’est ainsi que les autochtones abrègent le nom de leur île).
Il ne fait pas très beau, KI est immense et il nous faut encore beaucoup rouler pour atteindre notre “cottage” de bois, sorte de grand camping car en pleine campagne.
De là à ce que le moral n’y soit plus et que nous commencions à regretter l’investissement non négligeable, il n’y a qu’un pas ! Pas le temps de faire grand chose : filons vers l’accès mer le plus proche pour une ballade ventée sur les rochers tourmentés. Thibaud et Vincent “s’éclatent” à sauter de bloc en bloc. Des vols de centaines de galaas, perroquets roses et gris, nous accueillent à notre retour pour nous remettre des couleurs dans la tête.
Grande journée “nature” prévue le lendemain (2-12). Nous avons fait tellement d’incantations que le soleil est bien là. L’Ouest de KI est couvert de bush épais qui s'étend à l’infini. Sur cette côte sauvage, atteinte par une piste de terre ou à pied, nous avons trouvé une grande colonie de phoques à fourrure au milieu de reliefs fantasques modelés par la mer et le vent; l'occasion d'y faire un pique-nique, certes frugal, mais ô combien coloré et vertigineux en haut d’une falaise…
phoques à fourrure |
Notre aire de pique-nique sauvage |
Snake lagoon |
Trop cool les rochers découpés !
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