vendredi 15 juin 2012

“Djodja”… 12 et 13 juin

Tout va beaucoup mieux dès que le soleil revient. Et c’est le cas en ce premier matin à Djodja : la terrasse de notre “palais” nous paraît  beaucoup plus riante, le petit-déjeuner “buffet” succinct, mais très correct et nous trouvons dans la rue d’à-côté une guesthouse plus agréable où nous allons passer le reste de notre séjour ici. Il nous faut bien ça pour affronter une matinée peu passionnante au bureau d’immigration, où nous voulons faire prolonger nos visa indonésiens. Tout se passe comme nous l’espérions, mais c’est toujours interminable de faire des paperasses et nous devrons encore y retourner le surlendemain…

Pour terminer l’après-midi, nous allons flâner sur les Champs Elysées locaux – la jalan Malioboro – parmi les innombrables becaks (tuk tuk à pédales) et les vendeurs de batik à touche touche ; allez savoir où sont les vrais (très rares, à notre avis) et où sont les faux (pléthoriques) ???!!!

Dégustation de martabak dans la rue
Le becak, moyen de locomotion à Yogya
Et en rentrant se coucher, quelle n’est pas notre surprise de voir arriver Laurence et Sébastien, nos amis français rencontrés au Lac Toba ! Aïe, aïe, aïe, c’est demain que nous changeons d’hôtel : Thibaud en conçoit une telle déception qu’il n’aura de cesse de les faire déménager aussi. Y parviendra-t-il ? Suite au prochain épisode…
D’ailleurs le lendemain, outre déménager, nous avons un programme très très chargé. Il commence tôt au marché du coin de la rue, riche en “gueules” et marchandises.
et le becak sert à tout
petite sélection parmi les 75 photos prises au marché.

Il se poursuit au marché aux oiseaux,
Y'avait aussi des chats, des chiens, des lapins, des serpents, des géckos, etc.

Avant de nous conduire, en bus public, aux temples de Prambanan, majestueux sanctuaires hindouistes, dont la plupart a été fortement endommagée par les séismes successifs.


Finalement, soirée culturelle devant un spectacle classique de danse du Ramayana en plein air. Edith et Vincent, qui ont bien révisé l’argument ne repprochent qu’à la musique d’être un peu lancinante. Les deux Titi, qui l’ont lu par-dessus la jambe, n’y comprennent rien et s’ennuieront un peu. Il faut dire, pour leur défense, que la légende hindoue est  alambiquée.

Le brave Rama et son frère...
prennent les singes comme alliés...
pour délivrer la belle Sinta !

Quelle journée !

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