Tout va beaucoup mieux dès que le soleil
revient. Et c’est le cas en ce premier matin à Djodja : la terrasse de notre
“palais” nous paraît beaucoup plus
riante, le petit-déjeuner “buffet” succinct, mais très correct et nous trouvons
dans la rue d’à-côté une guesthouse plus agréable où nous allons passer le
reste de notre séjour ici. Il nous faut bien ça pour affronter une matinée peu
passionnante au bureau d’immigration, où nous voulons faire prolonger nos visa
indonésiens. Tout se passe comme nous l’espérions, mais c’est toujours
interminable de faire des paperasses et nous devrons encore y retourner le
surlendemain…
Pour terminer l’après-midi, nous allons
flâner sur les Champs Elysées locaux – la jalan Malioboro – parmi les
innombrables becaks (tuk tuk à pédales) et les vendeurs de batik à touche
touche ; allez savoir où sont les vrais (très rares, à notre avis) et où sont
les faux (pléthoriques) ???!!!
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Dégustation de martabak dans la rue |
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Le becak, moyen de locomotion à Yogya |
Et en rentrant se coucher, quelle n’est pas
notre surprise de voir arriver Laurence et Sébastien, nos amis français
rencontrés au Lac Toba ! Aïe, aïe, aïe, c’est demain que nous changeons d’hôtel
: Thibaud en conçoit une telle déception qu’il n’aura de cesse de les faire
déménager aussi. Y parviendra-t-il ? Suite au prochain épisode…
D’ailleurs le lendemain, outre déménager,
nous avons un programme très très chargé. Il commence tôt au marché du coin de
la rue, riche en “gueules” et marchandises.
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et le becak sert à tout |
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petite sélection parmi les 75 photos prises au marché. |
Il se poursuit au marché aux oiseaux,
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Y'avait aussi des chats, des chiens, des lapins, des serpents, des géckos, etc. |
Avant de nous conduire, en bus public, aux
temples de Prambanan, majestueux sanctuaires hindouistes, dont la plupart a été
fortement endommagée par les séismes successifs.
Finalement, soirée culturelle devant un
spectacle classique de danse du Ramayana en plein air. Edith et Vincent, qui
ont bien révisé l’argument ne repprochent qu’à la musique d’être un peu
lancinante. Les deux Titi, qui l’ont lu par-dessus la jambe, n’y comprennent
rien et s’ennuieront un peu. Il faut dire, pour leur défense, que la légende
hindoue est alambiquée.
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Le brave Rama et son frère... |
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prennent les singes comme alliés... |
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pour délivrer la belle Sinta ! |
Quelle journée !
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