Dans ce café se côtoient Français & aborigènes |
C’était pas prévu comme ça, Thierry nous ayant affirmé qu’il ne devait pas pleuvoir plus de quelques heures par an dans cet endroit… Les garcons se moquent de la mini-jupe de leur mère et, un peu désorientés, on va se blottir dans nos sweat-shirts et dans un café confortable du centre-ville devant des boissons chaudes.
Bon plan, car, le temps de vérifier sur internet les prévisions météo des prochains jours (ouf, elles sont au beau fixe ! On imaginait mal ne pas voir le rocher d’Uluru rougeoyer dans le soleil couchant…), le ciel bleu réapparaît. Néanmoins, la température ne montera pas au-delà de 21°, soit presque la moitié de ce que nous connaissions les jours précédents.
Notre hôtel à 75$ pour 4: une affaire ! |
Le changement de regime alimentaire crée chez Thibaud des gargouillis intestinaux et des flatulences. Finalement, ç’est bien qu’il fasse plus frais : c’est plus efficace quand on ouvre les vitres de la voiture pour dissiper les odeurs !!!
Plus poétiquement, le paysage n’a plus rien à voir : très minéral, tout acéré de roches roses, et très peu végétal, le bush est sec et le lit des rivières n’est plus que sable.
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