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Le bel aéroport de Changi et ses gouttes dorées animées : zen ! |
Encore une fois, nous ressentons cette
impression de “revenir à la maison”. Déjà, nous avons réservé dans la même
guesthouse qu’en janvier, en plein Little India et, contre toute attente, la
sympathique équipe du Mitraa inn nous reconnait ! Ensuite, nous faisons
recharger nos cartes du métro, où nous sommes aussi à l’aise qu’à Paris ;
enfin, nous prenons rapidement rendez-vous avec nos amis.
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Petit incident à la douane : pas de couteau toraja à Singapour ! Vincent gardera finalement son souvenir. Ouf ! |
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Little India la colorée. |
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Singapour, the "fine city"... |
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Et ses 4 langues officielles (ici dans le métro) ! |
Hervé, d’abord, qui nous rejoint au 70ème
étage du Swiss Hotel pour un premier cocktail de “ré-adaptation à la
civilisation citadine”. A Singapour, ça ne rigole pas et les mineurs ne sont
pas acceptés au bar, mais bon, on se débrouille pour ne rien rater de la vue…
Nos papilles s’affolent autour des délices italiens pour lesquels nous avons
opté au “Prego” : fines pizza, huile d’olive et ricotta, bon vin… Ah, les
nourritures terrestres !
Nous retrouvons Muriel, Marcus et leurs
trois garçons le lendemain dans un food court et passons ensemble un très bon
après-midi. Dommage qu’autant de milliers de kilomètres nous séparent, car nous
ressentons beaucoup d’affinités pour cette famille franco-italienne (rencontrée
à Perth à Noël dernier).
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Le luxe va jusque là ! C'est juste le hall d'entrée... |
Tout va très vite à Singapour, et en huit
mois, bien des choses ont changé. C’est le cas des abords du Marina Bay Sands,
encore en chantier en janvier dernier, et devenus un magnifique parc au design
contemporain, les “Gardens by the Bay”. Nous sommes fiers d’y entraîner Hervé,
qui n’a pas eu l’occasion de venir les découvrir, pour une balade dominicale.
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La toute nouvelle marina de Keppel Bay |
Et,
comme de vrais habitués, nous retournons dîner au True Blue, ce restaurant dont
le cadre et la cuisine nous avaient
enchantés. La grande différence, c’est que, après plus d’un mois en
Malaisie, la culture Baba Nyonya (Peranakan ici à SG) n’a plus aucun secret
pour nous et que nous en comprenons et un peu la langue et l’organisation
domestique. C’est d’autant plus agréable de revenir dans ce bel endroit.
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Les couloirs du métro, rutilants et bien décorés. |
Pourquoi aimons-nous autant Singapour ? La
ville est belle, propre, pas très embouteillée – aucune incitation à posséder
une voiture ; au contraire, ce serait un goufre financier – les habitants ne
semblent pas stressés, les immeubles ont tous des piscines – Hervé a d’ailleurs
à nouveau mis la sienne à notre disposition… La liste des bonnes raisons est
longue ! Mais quand même, le grand luxe, ce sont les WC ! Immenses, toujours
nickel, avec du papier, de l’eau et du savon sans même devoir appuyer sur un
bouton. Après huit mois de sanitaires asiatiques rustiques quand ils
fonctionnent, de casseroles en plastique en guise de chasse d’eau, d’absence de
lavabo, de douches froides réduites à un filet d’eau… vous comprenez que ce
genre de détail ait son importance.
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