 |
| Pakse-Don Khong à 12 dans le minivan |
Pakse n’offre aucun intérêt, nous y passons
néanmoins une journée pour les devoirs du CNED, la lessive, le
re-conditionnement des bagages et l’achat de billets de bus pour Don Khong et
la région des 4 000 îles.
 |
| Arrivée en pirogue catamaran à Don Khong |
Don Khong
L’île est paisible et rurale, la pluie nous
y surprend deux nuits de suite, privant même tout le village d’électricité (et d’eau,
car pompée dans le Mékong) pendant une grande partie de la journée. Ca nous
gène surtout pour prendre la BeerLao
fraîche à l’heure de l’apéritif avec nos nouveaux amis français.
En effet, nous nous souviendrons surtout de
Don Khong pour la rencontre de Florence, Pierre et leurs trois garçons blonds
aux yeux bleus (Vincent dit du plus jeune qu’il est l’incarnation du Petit
Prince). Cette famille fait pendant un an un voyage assez comparable au nôtre
pour les destinations, mais dans un gros 4x4 digne du Trophée Camel
complètement équipé pour barouder. Les cinq enfants ne mettent pas longtemps à
former une bande de meilleurs potes et filent sur les vélos de location se
baigner et pêcher à l’épervier dans le Mékong. Quant aux parents, ils ont des
foules de choses à échanger, bien sûr, les femmes appréciant de se sentir, pour
une fois, entre nanan.
 |
| Le 4x4 français (avec drapeau) s'éloigne par le bac vers le Cambodge |
Dans cette île, on vit lascivement au
rythme des basses eaux et du cours lent du fleuve… Les grands cocotiers, le
vent tiède, l’humidité des averses et les couchers de soleil sur fond de nuages
orageux nous font remonter des parfums de Nouvelle Calédonie ou d’Antilles.
 |
| A vélo dans les rizières vertes,... |
 |
| lotus roses,... |
 |
| et buffles d'eau : tout ce qu'on aime ! |
Don Khon (à ne pas confondre avec la précédente, à une lettre près)
La deuxième île où nous choisissons de
faire étape est très similaire, juste plus petite et reliée à une autre île par
le pont français, qui ne cesse de rappeler à Edith le
Pont Régemortes de son Moulins natal.
 |
| Quizz : qui a construit le pont français en 1870 ? |
La vie s’y écoule tout aussi calmement
ponctuée de balades en vélo, de baignades dans le Mékong, d’heures chaudes
passées sous la clim du bungalow et de Lao Lao cocktails (sorte de Mojito où le
rhum est remplaçé par de l’alcool de riz) quand la nuit tombe.
 |
| Vous avez vu le nom des cigarettes locales ? |
 |
| Nos amis les cochons roux sont partout |
 |
| Ecoliers devant les ruines de la colonisation française |
 |
| Fabrique de nouilles de riz en plein air, vive l'hygiène ! |
 |
| 3 types de laotiens aux heures chaudes... |
 |
| 2 français au même moment, sortant du bain |
 |
| Portrait de famille devant les chutes du Mekong |
 |
| Partie de "petang" après la baignade |
 |
| On s'est offert une jolie villégiature en bord du fleuve |
Vous ne verrez pas de photo des derniers dauphins d'eau douce. Nous avons vu le dos de quelques uns ondoyer, mais ils sont trop timides et sauvages pour que l'objectif les saisisse.
L’île est paisible et rurale, la pluie nous
y surprend deux nuits de suite, privant même tout le village d’électricité (et d’eau,
car pompée dans le Mékong) pendant une grande partie de la journée. Ca nous
gène surtout pour prendre la BeerLao
fraîche à l’heure de l’apéritif avec nos nouveaux amis français.
En effet, nous nous souviendrons surtout de
Don Khong pour la rencontre de Florence, Pierre et leurs trois garçons blonds
aux yeux bleus (Vincent dit du plus jeune qu’il est l’incarnation du Petit
Prince). Cette famille fait pendant un an un voyage assez comparable au nôtre
pour les destinations, mais dans un gros 4x4 digne du Trophée Camel
complètement équipé pour barouder. Les cinq enfants ne mettent pas longtemps à
former une bande de meilleurs potes et filent sur les vélos de location se
baigner et pêcher à l’épervier dans le Mékong. Quant aux parents, ils ont des
foules de choses à échanger, bien sûr, les femmes appréciant de se sentir, pour
une fois, entre nanan.
Dans cette île, on vit lascivement au
rythme des basses eaux et du cours lent du fleuve… Les grands cocotiers, le
vent tiède, l’humidité des averses et les couchers de soleil sur fond de nuages
orageux nous font remonter des parfums de Nouvelle Calédonie ou d’Antilles.
La deuxième île où nous choisissons de
faire étape est très similaire, juste plus petite et reliée à une autre île par
le pont français, qui ne cesse de rappeler à Edith le
Pont Régemortes de son Moulins natal.
Thierry n'a toujours pas arreté de fumer?
RépondreSupprimeryouhouuuuuu les cigarettes Lapin, ça c'est fort, c'était pour nous faire un clin d'oeil ??
RépondreSupprimer