Pour aller à Kuantan, le bus
“transnational” longe l’immense côte sableuse bordée de cocotiers, traverse de
sompteux estuaires; Deux endroits font salle comble lors de l’arrêt pour la
pause déjeuner: la salle de prière pour les hommes (il faut rattraper celle qui
a sauté pendant le trajet) et pour les femmes, les Tandas (WC).
Beaucoup moins estéthique mais conforme à
l’image que nous percevons de ce pays, notre bus traverse un gigantesque
comlexe pétrochimique de Pétronas (la Sté Nationale), aussi grand que
Fos-Sur-Mer et Le Havre réunis: forêt de torchères, de colonnes de distillation
et kilomètres de tuyaux argentés slaloment entre les cuves de pétrole raffiné
ou de gaz.
Pas beaucoup d’attraction majeures à
Kuantan, mais la visite quasi-privée de la mosquée bleue (vague réplique de
celle de Samarkand) nous permet d’entamer quelques discussions avec les malais
;
puis nous flânons sur l’esplanade de la rivière que borde la mangrove. Les enfants utilisent leur iPad à bon escient en surfant sur le net au sujet de l’islam et des raffineries de pétrole.
.
puis nous flânons sur l’esplanade de la rivière que borde la mangrove. Les enfants utilisent leur iPad à bon escient en surfant sur le net au sujet de l’islam et des raffineries de pétrole.
.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire